Suite à l’article paru ce matin dans la page locale VDN, concernant les états d’âme des syndicats du personnel communal, deux réactions nous viennent. La première est que nous nous étonnons toujours de voir des associations syndicales ne représentant qu’eux même, se faire toujours l’interprète du plus grand nombre. La seconde, c’est la révolte devant cette tartufferie que présente cette mise au point tardive. En effet, depuis 8 ans, le personnel municipal a, pour la grande majorité, souffert au quotidien des agissements de l’équipe Dalongeville avec la complicité active de certains hiérarques en place. Pour certains employés, la pression a été si forte, que leur état de santé en fut atteint sérieusement. Dénoncé cela à l’époque pouvait coûter très cher. Ils sont nombreux les cas isolés qui ont eu à subir des sanctions disciplinaires pour avoir osé clamer très haut ce que d’autres, à commencer par les syndicats, pensaient tout bas. Sous l’ère Dalongeville, on ne peut pas dire que le courage fut une vertu que possédaient les syndicats censés défendre les intérêts des salariés.  Aujourd’hui, sous couvert d’une pseudo opération « mains propres », certains syndicats entendent prendre le leadership de cette opposition au « fait du prince » , faits qu’ils ont jusqu’ici couvert de leur silence. Qui espèrent -ils tromper ?  Les salariés ne seront certainement pas dupe de cette posture présentement affichée. Fanfaronner devant un dragon terrassé, est à la porté de n’importe quel opportuniste !

Le délégué de la 14ème circonscription